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Un peu de tout
16 mars 2012

25 solutions pour manger l'esprit tranquille

J’ai lu et réfléchi sur cette lecture proposée par le site passeportsanté.net. Je n’ai plus l’esprit tranquille. Lisez mes commentaires; vous comprendrez. C’est pour cela que je vous en recommande la lecture. Pour une lecture sans mes commentaires cliquer sur le titre ci-après. Ainsi vous éviterez mes considérations sans doute un peu trop liées à mes habitudes de vie. Évidemment, j'utilise l'italique pour distinguer mes propos du texte de l'article.

25 solutions pour manger l’esprit tranquille

Comment manger santé et écolo?

D’abord, des aliments naturels et non transformés
1. Réduire sa consommation de plats prêts à manger. Je crois que moins de 5% de ce que je mange peut se classer dans le prêt à manger. J’aime cuisiner.
2. Privilégier les grains entiers : le riz brun, le millet, le quinoa, le pain intégral, etc. J’aime les grains entiers. Ce n’est pas une punition que d’en préparer et en manger.
3. Éviter les fruits et les légumes prélavés, précoupés ou prémélangés. Jamais j’en achète.
4. Cuisiner un repas de plus par semaine à la maison, en mettant à contribution les enfants ou des amis. Pourquoi ne pas essayer une nouvelle recette? Je trouve que je cuisine déjà assez. J’aime cuisiner, je me répète.
5. Se rappeler que plus la liste d’ingrédients des produits alimentaires est courte, mieux c’est... Je n’ai jamais pensé à ça.
6. Manger moins de viande rouge. Je me confesse. J’aime la viande rouge. Mais j’aime aussi les viandes blanches. Et les poissons. Et les fruits de mer. Vraiment j’estime ne pas manger de viande rouge plus de deux fois par semaine.

Acheter local
7. À l’automne, dans la mesure de ses moyens et de son espace, stocker le plus possible de légumes : carottes, pommes de terre, betteraves, navets, choux, courges, oignons et ail. C’est le moment de l’année où ils sont les moins chers. Je ne fais pas ça et je n’entends pas le faire. J’oublie aussi toutes les suggestions qui suivent.
On peut appliquer des techniques de conservation qui correspondent à sa situation personnelle. Des exemples? Suspendre de l’ail au grenier, se fabriquer un petit caveau dans le garage, congeler des tomates entières ou cacher des boîtes de courges et d’oignons dans les placards du sous-sol. Les plus courageux pourront se lancer dans la déshydratation ou la mise en conserve.
8. Choisir des fruits et des légumes locaux plutôt que ceux qui proviennent de l’étranger. Rechercher les étiquettes Produit du Québec (ou de votre région). Je compte sur mon supermarché pour entrer dans la danse. J’achète les produits qu’il m’offre. Rare que mon attention se porte sur cette question. Mais moins rare qu’il y a deux ou trois ans. On en entend plus souvent parler maintenant.
9. Participer à l’achat de paniers de fruits et légumes produits localement – souvent issus de l’agriculture biologique - qui vous seront livrés aux semaines ou aux deux semaines. Pas question. J’aurais un problème de conservation.
10. Fréquenter les marchés publics ou les producteurs agricoles de votre région. Pour le plaisir, parfois. Ne fait pas partie de mes habitudes.

De saison, c’est si bon!
11. Privilégier les fruits et légumes de saison. Dès le printemps, se précipiter sur les premiers légumes locaux, comme les laitues! En saison, je suis sensible à la présence des fruits surtout. La rhubarbe, les fraises, les framboises, les épis de maïs, les tomates me viennent à l’esprit.
12. En hiver, consommer des légumes congelés locaux. Il en existe! Bon savoir. Oui congelé mais jamais je me suis inquiété de leur provenance.
13. Les germinations remplacent avantageusement la laitue hors-saison. Si on les fait soi-même à l’aide d’un petit germoir ou simplement dans un pot en verre, elles sont très économiques. Oubliez ça! Pas pour moi! Pas encore!

Le bio, pourquoi pas?
14. Les produits bio sont, en général, plus chers que ceux issus de l’agriculture conventionnelle, mais ce n’est heureusement pas toujours le cas. Gardez l’oeil ouvert. Il m’arrive d’en acheter mais pas de manière systématique.
15. Ne pas se fier à l’apparence. Les fruits et légumes bio sont parfois moins uniformes que les produits auxquels les consommateurs sont habitués. Leur saveur et leur texture pourraient en étonner plus d’un. J’essaierai.

La fraise et ses 36 substances chimiques Cet aparté en suite à la suggestion 15 m’a aussi enlever ma tranquilité. J’ai des fraises de Floride dans mon refrigérateur. Et j’en achète régulièrement pour ajouter à mes céréales. Fini les fraises de Floride? Quel dilemme intérieur. Je ne réponds pas tout de suite à ma question. Et je ne jette pas mes fraises.

Comment consommer responsable?

Des produits équitables : c’est moins d’intermédiaires!
En plus du café, on trouve maintenant sur le marché canadien du chocolat, du sucre, du thé, du riz, du quinoa, des épices, des bananes et des mangues équitables. Pour être certifiés équitables, ces produits doivent répondre à différents critères qui vont bien au-delà d’un juste prix consenti aux producteurs.

Un commerce direct, établi sur le long terme, avec des coopératives de producteurs est l’une des priorités du secteur. Les intermédiaires - si nombreux dans l’industrie agroalimentaire -sont ainsi éliminés. Ces échanges plus justes entre le Sud et le Nord améliorent aussi les conditions de vie des producteurs agricoles des pays en développement.

16. Si possible, acheter des produits équitables de temps à autre. Je l’ai fait pour le café... une fois. Il faudrait que je passe à «de temps à autre». Je vais y penser.
17. S’assurer qu’il s’agit bien d’un produit certifié équitable : il doit porter un logo d’un des organismes de certification. Candidement, je fais confiance à la localisation (une section réservée à ces produits) de ces produits dans mon supermarché.


S’informer pour consommer intelligemment
18. Lire les étiquettes des produits alimentaires que l’on consomme. Parfois, oui, avant l’achat. Parfois, oui, après l’achat. Parfois, non. Je n’ai pas de comportement systématique à l’achat de mes aliments.
19. Poser des questions à la fruiterie, à la boucherie, à la poissonnerie, à l’épicerie pour mieux connaître les aliments achetés (provenance, fraîcheur...). Rarement mais ça m’est déjà arrivé.
20. Éviter de manger des poissons et des fruits de mer qui sont surexploités ou qui sont cultivés et pêchés sans respect pour l’environnement. Autre dimension de la consommation alimentaire à laquelle on nous sensibilise de plus en plus. Ce n’est pas encore une règle d’achat mais j’y pense de plus quand j’achète mes poissons et fruits de mer.

Comment éviter les intoxications alimentaires?

On doit s’assurer de la salubrité des aliments au moment de leur achat, de leur conservation, de leur préparation et de leur cuisson. Voici des mesures d’hygiène qui peuvent éviter une éventuelle intoxication alimentaire. À noter qu’elles ont été émises par le Partenariat canadien pour la salubrité des aliments10-11.

21. Bien nettoyer ses mains, les ustensiles et les surfaces de travail avec du savon et de l'eau chaude avant de manipuler des aliments. On peut aussi désinfecter les comptoirs, les planches à découper et les ustensiles avec une solution diluée d'eau de Javel et d'eau (5 ml d'eau de Javel pour 750 ml d'eau). J’ai confiance en mes habitudes de propreté. Je n’ai présentement pas d’eau de Javel et ne compte pas en acheter.
22. Laver les fruits et les légumes à l'eau courante avant la consommation ou la cuisson. On doit les laver même si on a l’intention de les peler ou de les couper, parce qu’il peut se produire un transfert de bactéries de la surface vers l’intérieur. Là, je suis négligent. Et je suis toujours vivant et en santé, donc sans doute avec des pratiques de propreté acceptables, disons suffisantes.
23. Garder certains aliments, comme les viandes et les jus de viande, à l'écart des autres aliments pendant la conservation et la préparation. Utiliser des planches à découper différentes pour les viandes crues et les légumes. Me semble-t-il que mes manières de faire s’apparentent à celles contenues dans cette solution.
24. Réfrigérer ou congeler les produits frais, les aliments préparés et les restes de table dans les deux heures. Ne pas décongeler les aliments à la température de la pièce. Assez d’accord.
25. Préparer les aliments rapidement, les cuire à la température requise et les servir immédiatement. Ne pas laisser traîner d'aliments à des températures favorables à la croissance de bactéries : les températures critiques se situent entre 4 °C et 60 °C (40 °F et 140 °F). Je retiens ça même si dans les faits je perds rarement des aliments par négligence. En fait, je devrais dire jamais. En tout cas, je ne me souviens pas.

Recherche et rédaction : Léon René de Cotret et Johanne Lauzon Ils sont les deux que nous devons remercier pour ce travail qui nous fait réfléchir sur nos habitudes de consommation alimentaire.

 

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